Quand peut-on parler de folie ?

Il y a quelques jours je vous parler de Mr. Flouch l'illuminateur de ma vie, ma source de joie nouvelle, mon nouveau compagnon qui dans ses yeux me disaient "nous sommes meilleurs amis pour la vie et même si nous avons mal démarrer nos vie, nous nous sommes trouvés toi et moi, et nous allons enfin être heureux" et aujourd'hui je vous apprend qu'il m'a quitté. Emporté, arraché à moi et a cette amitié qui venait juste de naitre. Même si je suis une grande amoureuse des animaux et que mr flouch me suivait partout, je réalise que j'ai bien plus de mal à gérer la situation et que cela cache bien plus que la perte d'un ami.

Etant obligée de fuir de chez mes parents et de la maison familiale pour des raisons dont je ne citerai pas, j'avais beaucoup de mal à vivre seule, et enfin je reprenais gout à la vie, mais la seule personne (oui pour moi un animal est une personne) m'a été enlevé. Le seul à partager réellement ma vie, n'aura pas vécu assez longtemps auprès de moi. Et je prend cela comme une déchirure mais également comme un nouvel echec.

J'ai si peur de la mort, de voir ma famille et mes amis mourir et me laisser seuls. Comme Mr. Flouch l'a fait (bien qu'il aurait préféré rester, pourtant je connaissais les risques avec un bébé). Les gens ne sont pas éternels et ma famille vieillie, mes grands-parents ont dépassé les 80 ans et j'en ai déjà perdu deux (même si je ne me sentais pas proche d'eux, c'était une partie de moi). Je songe à la perte de ma mère avec qui je suis très fusionnelle et je n'ose imaginer cette épreuve de ma vie, si je suis seule comme je me sens seule aujourd'hui (alors que je l'ai elle) là je serai vraiment seule.

Je ne pensais pas à ces choses avant, ni même avait conscience de ma solitude. Le monde semble être devenu fou, et bien que là aussi je le sais depuis des années, c'est comme si j'ouvrais les yeux et que je me prenais tout dans la gueule. Je n'en peu plus de ces guerres, de ces meurtres, de ces viols, de ces massacres d'animaux, de ces jeunes qui insultent tout, de ces politiques de luxes, de ce devoir d'apparence sinon on est has-been, de ce désir matérialiste, de ces prix affolant pour se nourrir et se soigner. Alors que les aliments qui rendent malades restent si accessibles à tous. Nous sommes quand même dans un monde ou une salade vaut deux fois plus cher que de la merde chimique en boite.

C'est devenu tellement chacun pour soi, on ne se parle pas, on se crie, on ne communique plus, on écrit des mails. On ne rêve plus, on veut toujours plus, plus que le voisin pour prouver que l'on est plus riche, être toujours plus beau, plus jeune, plus arrogant, plus riche, plus vaniteux. C'est à celui qui sera le plus irrespectueux, le plus raciste, le plus cruel. Le monde à déjà connu toutes les atrocités possibles et imaginables, pourtant chaque jour, je m'étonne de voir qu'il en existe une centaine de nouvelles, c'est comme si quelqu'un avait un puis d'idées malsaines qu'il faisait réaliser à travers les humains. Je n'en peu plus, je n'ai jamais voulu appartenir à ce monde, ni être comme les autres, mais là je n'y arrive plus du tout. Personne n'est à l'abri : les homosexuels, les "noirs", les juifs, les handicapés, les gros, les trop maigres ...

On dit qu'Hitler s'est tué, mais nous avons des Hitlers modernes ressuscités tout autour de nous, parmi nos connaissances, nos voisins, nos collègues. Si l'on est pas parfait, physiquement et professionnellement nous ne sommes rien, nous sommes des intrus, impurs ... exactement comme en temps de guerre. Au lieu de nous soucier de notre dernière paire de chaussures, occupons nous de ces gens qui meurent parce qu'elles n'ont pas d'eau potable Non ??

Il m'en faut beaucoup, mais ce monde aujourd'hui m'écœure mais je ne peu pas passer ma vie dans les parcs Disney ou les journées médiévales. Cette peur de l'avenir, pas le mien à proprement parler, mais celui des générations futures, celui de cette planète, l'avenir de l'être humain. Qu'allons nous devenir, lorsque l'on aura détruit toutes les forets, toutes les fleurs, fait disparaitre tous les animaux, massacrés les bébés des bébés de tous les animaux, lorsque toutes les eaux seront polluées et qu'il faudra acheter de l'eau a 10 euros la bouteille ?? lorsque nous nous entretueront, et qu'il faudra payer cher pour survivre, qu'il faudra s'endetter pour continuer à vivre ??

Non je n'ai plus fois en ce monde, je pense aux autres, pas tout le monde n'a la chance de visiter une fois par mois les parcs Disney (comme j'ai pu le faire) ou de se rendre à bcp de médiévales pour décompresser. Que deviendra l'être humain, comment peut-il encore inventer de nouvelles horreurs chaque jour ?? pourquoi les fabricants de jeux deviennent milliardaires avec des jeux de guerres virtuelles, comment peut-on vouloir jouer à la guerre alors que dehors dans la vraie vie, c'est justement la guerre ? comment savoir si ces joueurs font bien la différence entre réel et virtuel ? pourtant l'une des guerres s'arrete en cliquant sur un simple bouton tandis que l'autre ne s'arrête jamais. Quand l'une d'elles tu les gens pour de faux, l'autre les abats pour de vrai.

Mr. Flouch est parti mais il y a bien quelque chose d'autre derrière toute cette souffrance. Le monde va mal, très mal et j'ai l'impression que personne ou presque ne fait rien. Tout le monde attend le pire pour se plaindre et rejeter la faute sur les autres, mais nous sommes tous fautifs. Lorsque dans des années, les arbres, les oiseaux, les animaux ne seront plus que dans des livres, l'être humain ne serait il pas lui aussi en voie de disparition. Autrefois il parait que les animaux parler, que la nature se manifester plus, nous avons déjà régresser, laisser les choses allaient mal. Les animaux ne parlent plus, certains n'existent plus, et personne ne semble s'inquiéter. L'homme est-il si vaniteux qu'il désire vivre dans un monde ou lui seul existe ? se croyant supérieur à toutes les espèces. Nous avons déjà dépassé ce stade, car l'homme s'entretue, se détruit lui même. Et élimine lâchement et simplement celui ou celle qui ne lui revient pas, pour un regard qu'il a pris pour lui, pour une couleur de peau, pour une préférence sexuelle, pour un poids trop bas, trop élevé, pour une beauté que l'on jalouse, pour un handicap, pour une différence.

Dans mon métier et mes passions, pour mon métier et mes passions, je relativisais jusqu'aujourd'hui, voyait toujours le bon côté d'une vilaine chose, mais là, non je sature, je n'arrive plus, je ne me réjoui de rien. Je regarde mes petits bouts au travail et ne peu m'empêcher d'avoir peur pour eux, qu'ils n'arrivent pas trouver leur place, qu'ils deviennent mauvais a cause des autres, qu'ils cachent qui ils sont à cause des autres. Qui ne s'intéresse pas aux autres, ni aux animaux, qui se fasse tuer en allant à l'école, qu'ils se prennent des coups de couteaux pour avoir été au mauvais moment au mauvais endroit.... c'est dur de penser comme cela. Avant j'avais grand espoir dans les enfants, et me disait que rien n'était perdu, que cela allait forcément s'arranger avec le temps. Mais maintenant, je crois qu'il faut se battre et si au moins un enfant sur 100 s'en sort alors, il faudra s'estimer heureux. J'ai l'impression que la terre est devenue un immense laboratoire et que les êtres humains sont devenu les petites souris blanches cobayes. Que peu importe le nombre de personnes, si nous en sauvons un c'est déjà bien, et surtout il faut observer, les forcer à s'entretuer pour observer les résultats.

Aujourd'hui je comprend que ma plus grande peur s'est réalisée, tout le monde m'a obliger à grandir et j'ai fini par le faire, par devenir "grande" avec toutes les questions que cela impliquer. Tant que je vivais dans ma bulle, dans mon univers, je n'avais pas conscience de tout cela, je vivais auprès des champignons magiques et des fées. 27 ans à vivre dans les contes de fées, le réveil est bien plus dur que je ne me l'imaginais. Et encore je ne vois pas en direct ces horreurs, je détourne la tête lorsque je vois un animal mort sur la route, ou bien quand une personne leve la voix et menace son interlocuteur, je me cache chez moi, enfermée a double tour. De peur, la peur ... elle gouverne notre monde, notre pays, notre ville, notre maison, notre vie. Elle est la grande gagnante. Je me demande si les tueurs et autres criminels éprouvent la peur, ou s'ils éprouvent le moindre sentiment.

Je vois mon chat presque partout, bien plus blessée par la perte de ce compagnon à 4 patte que des êtres humains que j'ai perdu jusqu'à présent. Je me demande les massacreurs d'animaux, voient -ils leurs victimes, regrettent-ils? Je ne comprend pas, ces humains qui massacrent des chats et autres juste pour faire parler d'eux et faire le buzz sur internet, étaient pourtant des enfants, des enfants comme j'en ai au travail, alors comment ne pas avoir peur de l'avenir de ce monde et de nos enfants. Comment peut-on avoir envie de faire des enfants et de les lâcher dans ce monde cruel ??

Je sais que malgré tout il y a du bon en ce monde, et qu'il faut se battre pour lui. Mais cela devient de jour en jour bien plus dur, les atrocités sont de plus en plus cruelles. Autrefois les guerres pour l'indépendance, pour l'esclavage, pour les droits de votes ... avaient un réel but, ont changé le monde (quoique ces problèmes reviennent à la mode autant que les fringues vintages de nos grands-mères), cela n'a servit à rien. Mais ces "vidéos" de barbarie sur les animaux, sur des gens qui n'entrent pas dans le moule, ces vidéos n'ont d'autre but que de rendre célébré les meurtriers, de donner de mauvais exemples aux générations futures. Cela ne s'arrêtera pas tant que les hébergeurs internet circuleront librement ces vidéos. Si ces criminels n'avaient pas autant de "vues" si ils ne suçotait d'intérêt pour personnes, ils s'arrêterait d'eux mêmes, car ce ne serait alors plus à la mode.

Ce monde me fait peur, et seule, je suis obligée de prendre conscience de façon brutale de tout cela.

Je me sens défaillir et presque devenir folle. J'ai fais un régime que je dois recommencer, j'ai peur à tout moment de perdre mon permis alors que je fais bien attention, de perdre ma famille, de perdre mes amis, de voir un oiseau mort sur le chemin qui mène à ma voiture, d'ouvrir internet et de lire les informations. On ne parle que des mariages et naissances princières, on ne parle que des robes des stars aux dernières mtv, de leurs nouvelles coupes de cheveux ou du salaires des joueurs de foot. Je veu moi, voir des articles sur des personnes qui survivent aux cancer, d'autres sur les avancées des recherches médicales, d'un pompier qui à sauver un chat ... je veu voir cela tous les jours et pas juste une fois comme cela, (car cela fait genre et du coup cela rarissime ce genre de fait).

Je suis sur que cela arrive tous les jours, des bonnes actions, alors je veu pouvoir être mise au courant, me permettre d'avoir encore foie en ce monde. Mais si après notre connexion internet nous démoralise, on va ensuite au magasin consommé des pseudos aliments censé nous rendre le moral, nous grossissons, nous montons sur la balance et nous redéprimons, alors nous nous reconnectons sur internet ou nous ouvrons la télé et là nous avons quoi ? des stars de téléréalité plus connue parce qu'elles sont ou font semblant d'être connes qui disent à nos enfants, pas besoin d'être intelligent, du moment que tu es belle et bien foutue et beau et bien musclé. Ce sont des gens remarquables qu'il faut prendre pour exemple, des gens qui font des choses, autre chose que du shopping ou bien "baiser" avec le mec de sa copine, juste pour faire chier la fille en question. Non mais sérieux ou va-ton ??

Dragon

Le terme anglo-saxon dracan semble venir du grec draco qui signifie dragon ou gros serpent, mais il pourrait tout aussi bien dériver du mot derkein, qui veut dire voir clairement, en effet, non seulement les dragons sont réputés pour avoir une vie très perçante, mais ils peuvent également prédire l'avenir.

Il était un conte

Le conte populaire irlandais Jamie Free et la Jeune Fille raconte l'histoire d'un jeune homme nommé Jamie qui sauve une riche jeune femme prisonnière des fées.

 

Afin de dissuader Jamie de ramener la mortelle avec lui, ces dernières la transforment en chien noir qui aboie et qui mord, puis en une barre d'acier à la fois froide et rougeoyante, enfin en ballot de laine.

James Joyce

Est un écrivain irlandais qui fit remarquer un jour que certaines contrées du Connaught, à l'ouest de l' Irlande étaient plus peuplées de fées que d'humains.

 

Il n'y avait rien de surprenant à cela lorsque l'on sait que c'est dans le Connaught que vivait Medb, la reine des fées.

Bonnes ou Mauvaises ?!?

Les elfes et les fées peuvent tout aussi bien être gentils et bien intentionnés que l'inverse. Les premiers vous aideront aussi longtemps que vous vous montrerez aimable et prévenant avec eux, mais prenez garde à ne pas vous approcher des mauvais elfes ni des mauvaises fées, cela ne vous apportera qu' affliction et peine.

Une école consacrée aux elfes et aux fées

Magnus Skarphedinsson, frère de l'un des hommes politiques les plus connus d'Islande est directeur de l'école Elfique d'Islande. Cette école appelée " Alfaskolinn" en islandais, possède sa structure propre avec des salles de classe, des manuels et même une remise de diplômes. On y étudie le comportement des elfes, et le programme prévoit des excursions pour les rencontrer ainsi que des projets de recherches.

 

Pour en savoir plus, voici le lien Facebook de cette école

 

https://www.facebook.com/pages/The-Icelandic-Elf-School-%C3%81lfask%C3%B3linn/347416668636001?fref=ts

Je vous étonne, si je vous disais que j'adorer la visiter et y être une élève ? je serai la première Fauwne qui étudie les fées et les elfes. (ben quoiiii, c'est beau de rêver)

Descritpion

Les elfes sont des créatures enchantées, dotées de pouvoirs extraordinaires et fortement ancrées dans la nature, tandis que les fées, elles aussi dotées de pouvoirs extraordinaires, incarnent les multiples facettes de cette nature.